21h58 : Cependant, maintenant qu’on a vu cette mi-temps si vite déséquilibrée (et presque écrasée par l’Argentine), on ne peut que regretter de ne pas avoir droit à un immense Classique du football mondial. Et oui, Brésil-Argentine en Coupe du monde, ça n’arrive pas si souvent. Merde, on est à Caniggia en 1990, non (garanti pas d’arnaque, histoire vraie) ?
21h55 : C’est fait ! Eh bien, nous ne nous attendions pas à ce qu’il se termine si facilement. Une grande maîtrise argentine, et un Leo Messi au niveau officiel ou pas loin. Franchement, l’étincelle est venue beaucoup plus de lui que de Julian Alvarez, même s’il a été le dernier à frapper un doublé. Ce sont les statistiques du match Les statistiques du match Argentine-Croatie. -Sofascore
90+3 : Au fait, si vous vous posez la question, Lionel Messi est apparemment toujours sur le terrain. Cet homme ne sort pas, il cumule toujours 2 passes décisives dés et un autre but en prolongation, dzou nom !
90e : 5 minutes de prolongation paaaaaaaasionandes à venir (pas du tout).
85 ́ : Bon, même pas Lovren marque un but (inutile) qui semblait tout cuit. Nous n’avons jamais eu de sympathie capitale pour toi par ici, cher Dejan. Ce n’est pas cet échec qui fera bouger les choses.
83e : Documenté contre une étrange équipe argentine, cette fois menée par Dybala, et termine par une volée très proche du côté. La claque était presque totale sur celui-ci.
81e : En prévision de ce changement plus que probable, le poulain Lovro Majer remplace le massif Luka Modric. Ne t’inquiète pas Luca, tu seras encore là dans quatre ans, voire huit !
80′ : Ça se passe bien en fin de match. A tout instant, Ariel Ortega et José Chamot frappaient le poteau pour grappiller quelques minutes de jeu.
75e : Dybala entre enfin dans le jeu !
Oh, on avait oublié qu’il était à la Coupe du monde, il remplace Julian Alvarez dans cette demi-finale inattendue du temps immonde. Et effectivement, on nous a glissé dans l’atrium que ce sont bien ses premières minutes en compétition.
69e : Alvares, Ballon d’Or Messi !
Mais quel festival de Leooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooéennes ! Il est parti, enfermé dans le but, à 40m du but de Livakovic. Il s’est amusé avec Gvardiol, comme dans ses meilleures années catalanes. En mode accélération, arrêt, réaccélération après retour à la cible. Gvardiol a eu le mérite d’être toujours à l’affiche (et pas aux fesses), mais cela n’a pas empêché la Pulga de déposer un caviar absolu à Julian Alvarez. Défenseur central savoureux, sécurité du pied droit de l’homme de la ville, mais évidemment 98,7% du travail est pour le roi Leo dans celui-ci.
66e : Les Croates ne sont pas trop mal là-bas, mais Martinez ne bouge pas vraiment. Nous nous dirigeons directement vers une passe de groupe tranquille à Messi. Qui l’aurait cru après le récital d’Hervé Renard ?
63e : Un petit coup de chaud dans le but d’Emiliano Martinez, sur une faute dans la grande surface mal gérée par toute la défense argentine. Cela n’a aucune conséquence (grave).
62e : Accident ou coïncidence : Scaloni remplace immédiatement Paredes. Le Mancunien Lisandro Martinez retrouve sa place.
61e : Bon, un premier tacle un peu “sauvage” de Leandro Paredes !
On l’a trouvé très sage jusque-là, et il vient de couper doucement Luka Modric (non, mec).
58e : Mesiiiiiiiiiiiiiiiiii tout près du doublé !
Excellent échange en milieu de surface entre Messi et Enzo Fernandes (peut-être les deux plus grands talents offensifs argentins du tournoi). Beau rallye de Livakovic sur place, mais la Croatie n’est définitivement pas là.
55e : Dix minutes déjà jouées, et la Croatie n’a absolument rien montré offensivement. Ça ne sent pas bon le suspense (même si le précédent néerlandais a existé, on le sait). Au lieu de cela, notre ami Paredes a même pris feu en essayant de frapper (non, pas vers le banc croate non plus).
50′ : Très étrangement, nouveau changement pour les Croates, avec le remplacement de Brozovic par l’avant-centre Bruno Petkovic. Un choix résolument offensif. C’est un miracle que cela ne se soit pas produit à la pause. Que Brozovic soit un peu blessé, ou qu’il ait dû en signer quatre en cinq minutes pour conserver sa place, c’était réglé à la mi-temps.
46e : Déjà entraîneur du côté croate et cela se comprend : sur Sosa et Pasalic, Orsic et Vlasic prennent leur place.
21h04 : C’est reparti, mettez une alarme croate s’il vous plait !
20h50 : Mi-temps dans celui-ci ! Bon, on ne s’attendait pas à ce tour de jeu, après une demi-heure de rien ou presque rien. Nous avons vu des choses plus folles dans cette Coupe du monde, donc nous n’allons pas continuer et l’annuler. Cependant, la Croatie devrait y montrer de belles ressources.
45e+4 : C’est Léo !
Belle fête sur l’aile droite, et le Parisien a marqué une faute. Il est sérieusement sur ses pieds là-bas, dirons-nous.
45’+1 : Ultime réaction de la Croatie, mais Martinez alerte à la hauteur du poteau gauche, sur une frappe en diagonale de Juranovic.
45e : Allez 4 minutes de temps supplémentaire. Essayez de rester (un peu) en vie les amis croates, les mêmes, avant la pause.
42e : Olala Livakovic évite la catastrophe absolue !
Enorme occasion 3-0 pour les Argentins : une tête de McAllister et un sacré centre de Livakovic. La Croatie est décontractée, c’est fou !
38e : deuxième but de Popopo pour l’Argentine, la Croatie s’éloigne !
Cela commence par un corner croate cataclysmique, et revient à 2 000 à l’heure. Julian Alvarez s’empresse de bondir sur lui, et c’est fini au final, car Juranovic et Sosa obtiennent des contres vraiment ridicules à la fin de ce contre. Ce crétin d’Alvarez l’a bien joué personnellement dans celui-ci de toute façon, mais ça marche.
36e : Quel incroyable réalisme argentin !
34′ : Lionel Messi transforme sans se soucier Livakovic, alors que le gardien de Martinez ne voulait pas le voir. 1-0 pour l’Argentine, ça continue !
32ème : Péééééé pour l’Argentine !
Quel alignement dévastateur de l’axe défensif croate sur ce ballon en profondeur pour Alvarez. Lovren est déçu, le Guardiol prometteur mais prometteur hors écran et l’attaquant de Manchester City ne soutenant pas suffisamment ses efforts. Mais juste après son plongeon aérien, il devient accro à Livakovic. Celui-ci devient jaune plussssss semble un peu blessé après ce contact. La pénalité était probablement raisonnable en tout cas, car le tir d’Alvarez était dégagé devant la ligne. Les Croates pourront prétendre que Livakovic a tenté de bloquer sa course, mais il touche encore Alvarez ti.
31ο: Πφιουουουουουουυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυυου
Arrêtez tout ! Bon, ok, il était dans son camp… Et ça se termine par un lob/coup raté de Perisic.
30e : La meilleure impression, entre maîtrise technique et maîtrise collective, est croate en tout cas, jusque-là.
27 : Oui, la roulette de Kramaric est sympa pour gratter une bonne faute !
Ça ne marche pas (épisode 18), mais la réunion s’éclaire un peu.
25 : Alléluia ! Comment s’appelle ce truc encore ? Ah oui, coup dangereux !
Merci à Enzo Fernandez pour ce flash, avec une frappe pleine de spontanéité, avec un rebond vicieux sur le “bonus track” ? Très bien, Livakovic a dû se détendre pour le rejeter (avis d’expert : elle allait s’écraser sur le poteau, il était tellement lent).
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